Tous les pays ne sont pas logés à la même enseigne. Le sport électronique est plus développé dans de nombreux pays d’Asie parce que les fabricants de jeux vidéo y sont installés. Les e-sports sont également très populaires en Europe, car cette zone représente un important marché.
Genre et nationalités des joueurs
Lors des compétitions majeures telles que les Jeux Olympiques, la répartition géographique des médaillés établit qu’ils proviennent d’un groupe d’au moins six pays : Canada, États-Unis, Chine, Grande-Bretagne, Russie, Belgique.
En 2017, les joueurs originaires de la Chine ont permis à ce pays d’engranger pas moins de 60,32 millions d’euros.
La Belgique se situe relativement loin dans le classement mondial. Ce pays est à la quarantième place. Des e-sportifs du pays de Jean Claude Van Damme ont gagné des sommes atteignant parfois 810 279 euros. Adil Benrlitom a 23 ans. Il est Belge et membre de l’équipe “EnVyUs”. En 2017, ses revenus ont atteint 198 068,20 euros.
Sur toute la planète, un tandem domine l’e-sport en termes de gains financiers.
- D’une part, Sasha Hostyn, une e-sportive originaire du Canada. Elle a gagné beaucoup plus d’argent en 2017 soit 180 062 euros . Sacha excelle sur StarCraft.
- Côté masculin : Kuro Takhasomi est le champion. Ce citoyen de l’Allemagne a gagné 2,16 millions d’euros en prouvant sa maîtrise dans le jeu “Dota 2”. Deux autres garçons complètent ce podium des gains les élevés. Il s’agit : du Jordanien Amer Barqawi. Il a gagné 2,07 millions d’euros. L’américain Saahil Arora ferme la marche. Ses gains avoisinent 187 264,48 euros.
Ces sommes représentent les gains directs et non les revenus auxiliaires que parviennent à toucher les athlètes.